JOURNÉE D’ÉTUDES
Les « narrateurs antipathiques »
Anaïs Oléron et Vincent Jouve (CRIMEL)
Jeudi 30 mars 2017
9h30-17h30, Bibliothèque Robert de Sorbon
Première partie- Normativité, fiabilité et attentes du lecteur : les enjeux
théoriques de la narration antipathique.
9h45-10h15 Frank Wagner (Rennes) : « Petit précis d’antipathie narratoriale ».
10h15-10h45 Anaïs Oléron (Reims) : « Narration non fiable et effets de valeurs :
pour ou contre une nette démarcation entre narrateurs non fiables et narrateurs
antipathiques ? »
10h45-11h30 : questions et discussions suivies d’une collation (café, thé,
gâteaux).
11h30-12h Stéphane Pouyaud (Reims, ATER Le Havre) « Quand le narrateur se
révèle antipathique : les effets du « narratueur » sur le pacte de lecture policier
dans l’oeuvre d’Agatha Christie (Le Meurtre de Roger Ackroyd et La Nuit qui ne
finit pas). »
12h-12h15 : questions et discussion.
Seconde partie de la journée- Face à un narrateur antipathique – et
potentiellement non fiable – quel impact sur le lecteur et sur
l’interprétation de l’oeuvre ?
13h45 : 14h15 Barbara Servant (Rennes) : « The Black prince d’Iris Murdoch et
les ambivalences de la voix narrative : entre identification et distanciation. »
14h15-14h45 Claire Colin (Paris III) : « Les enjeux de l’antipathie narrative
dans l’oeuvre de Vitaliano Trevisan ».
14h45-15h30 : discussion suivie d’une pause.
15h30-16h Gaëlle Debeaux (Rennes, ATER Angers) : « Johnny Errand dans La
Maison des feuilles de Mark Z. Danielewski : un narrateur pathétique ou
antipathique ? »
16h-16h30 : Marine Galiné (Reims) : « Non fiabilité et conflits axiologiques
dans le roman de Maria Edgeworth, Castle Rackrent ».
16h30-17h : discussion.
17h-17h20 : conclusion et temps d’échange sur les apports de la journée.